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Les cold cases occupent aujourd'hui pleinement l'actualité. Les médias se passionnent pour le sujet et proposent quotidiennement au public des affaires criminelles récentes ou passées. Qu'est ce qu'un cold case ? Pourquoi certains crimes ne sont-ils pas élucidés? Comment améliorer le traitement judiciaire de ces affaires complexes ? Quelles solutions ont-elle été adoptées pour répondre à cette douloureuse problématique pour les familles des victimes ? Quel est l'apport de la science dans ce domaine ? L'auteur, ancien juge d'instruction et procureur de la république, a présidé la commission nationale chargée de réfléchir à ces questions entre 2019 et 2021. Fort de sa longue expérience, il évoquera la complexité du sujet et les enjeux humains et sociétaux qu'il revêt aujourd'hui.
Magistrat honoraire, Jacques Dallest a été juge d'instruction (Rodez et Lyon) procureur de la république (Roanne, Ajaccio, Bourg en Bresse et Marseille), procureur général (Chambéry et Grenoble) et avocat général d'assises (Loire, Corse du Sud, Ain, Charente, Dordogne, Gironde, Haute-Savoie, Savoie, Hautes-Alpes, Drôme, Isère).
Auteur de six ouvrages :
" Sur les chemins du crime (2025), « Cold cases, un magistrat enquête » (2023), « L’Épuration, l'histoire interdite » (2022), « Le guide et le procureur » (2020), « Mes homicides » (2015) et « La criminalité organisée » (2012). Il a préfacé divers ouvrages consacrés à la criminalité. Il est membre du jury du Prix du Quai des Orfèvres.
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Il a été également professeur associé à Sciences Po Grenoble et doyen des enseignements du pôle Communication Judiciaire à l’École Nationale de la Magistrature. Il a présidé la commission nationale sur le traitement judiciaire des crimes non élucidés entre 2019 et 2021.
Consultant judiciaire depuis deux ans, il intervient régulièrement sur les chaînes radio et télé d'information continue. Il réside à Annecy.
Dans un monde de plus en plus chaotique où le fragile ordre international édifié par l’ONU au XXe siècle est défié par de multiples et nouveaux types de conflits qui prolifèrent hors de tout contrôle, il est possible - et urgent- de déployer des stratégies de régulation et de pacification alternatives à la force brute, seules voies vers la coexistence pacifique des identités diverses et des sociétés plurielles d’aujourd’hui.
La société a tendance à invisibiliser la sexualité et les besoins affectifs des seniors. Pourtant, l’intimité, le désir, la tendresse et la complicité ne disparaissent pas avec l’âge. Au contraire, ils évoluent. Il est temps de briser les stéréotypes liés à l'âge et à la sexualité. D’autant plus qu’il s’agit d’un enjeu de santé publique. En effet, la vie affective et sexuelle influence directement la qualité de vie, la santé mentale et même la longévité. La reconnaissance de ces besoins peut contribuer à prévenir l’isolement, la dépression et à favoriser une meilleure estime de soi.
La réalité est bien plus plurielle car les seniors ne forment pas un groupe homogène. Qu’ils soient en couple, célibataires, veufs ou en maison de retraite, leurs vécus et leurs attentes diffèrent. Cette conférence aborde cette diversité avec bienveillance et sans jugement.
En parlant ouvertement de ce sujet, on encourage le respect, la compréhension mutuelle, et on favorise un regard plus juste sur ce que signifie « vieillir avec désir ». "
Dr Rosa CARBALLEDA
Médecin sexologue, Thérapeute de Couple Médecin onco-sexologue à la clinique Médipôle de Savoie Chroniqueuse Radio et TV Conférencière et formatrice en santé sexuelle
Chargée d'enseignement à la faculté de médecine de Grenoble
- Présidente du Réseau Isérois de Sexologie (RIS)- Présidente de l'Association de formation médicale AlpeSanté
Lorsqu’il s’éteint, le 26 septembre 1945, au West Side Hospital de New York, Bartók a eu la satisfaction d’assister au triomphe de son Concerto pour orchestre dirigé par Koussevitsky à Boston. Son exil américain est la conséquence de son opposition farouche à l’adhésion de la Hongrie, à l’axe avec l’Allemagne hitlérienne : « Mon véritable principe directeur depuis que je suis compositeur est la fraternité des peuples…Je cherche à l’illustrer en musique…Je ne ferme à aucune influence qu’elle émane d’une source slovaque, roumaine, arabe…Pourvu que cette source soit pure, fraîche et saine ». Formé, à Budapest, dans la tradition germanique de l’Empire austro-hongrois, c’est en 1906-1907 qu’il fait deux découvertes, celle du Pelléas et Mélisande de Debussy qui influencera son opéra Le Château de Barbe-Bleue. Au même moment, il débute la collecte de chants paysans hongrois qui nourriront tous ses opus jusqu’à ses œuvres essentielles que sont la Musique pour cordes, percussion et célesta et la Sonate pour deux pianos et percussions où il réussit une étonnante synthèse entre les sources populaires et sa vénération pour Bach et Beethoven.